Me resisto a desprenderme del Diario póstumo de Julien Green, Le Grand Large du soir. Journal, 1997-1998, de una melancolía infinita. El Sócrates de Platon se inventa su teoría de las ideas y la vida posterior a la muerte para consolar a sus discípulos de su decisión fatal. Green utiliza el Evangelio de Marcos con el mismo fin. Con cariño filial, su hijo adoptivo fingía creerlo. Ante tales ejemplos, incluso la teoría proustiana del arte se me antoja “pequeña”. El último Green contempla el Ocaso de Europa, caída en el desencanto desalmado de los gestores de algunos cementerios suecos, que venden la energía de sus hornos crematorios para mejorar la calefacción urbana.
Dos entradas de 1998:
28 avril.- La science-fiction devient de jour en jour plus menaçante, car c’est toujours dans le pire que l’homme innove. On pourrat, paraît-il, transporter des cerveaux vivants de corps uses, malades ou vieux, dans des corps choisis. Choisis comment? Des clones? Mais ce serait traiter ces dernieres comme une nouvelle race d’esclaves, et le cycle infernal recommencerait. Ou bien des corps choisis par l’argent, on provoquerait des accidents particuliers pour les utiliser sans dommages.
29 mars.- .. du desert actuel.. [ .. ] Nous retournons aux premieres siècles quand la culture universelle veillait dans quelques cerveaux et que des petits groupes isolés, comme les moines de Saint-Gall, continuaient à croire en l’avenir et à protéger ce que le passé avait légué. Dehors, les memes appétis d’argent, de puissance, de pouvoir se donnaient libre cours comme aujourd’hui, et qu’en reste-t-il de ce temps-là? Ce qu’il en restera d’aujourd’hui.
[ .. ]
Biografía NO autorizada de CJC. «Érase una vez, en un lugar de Caína, cuyo nombre recuerdo con pavor..».
Deja una respuesta