Jeannette Bougrab, Villepinte, en un mitín de campaña de Nicolas Sarkozy, 11 marzo 2012. Foto JPQ.

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Jeanette Bougrab fue ministra de Sarkozy. Su compañero sentimental fue Charb, director de Charlie Hebdo, asesinado.

Esa historia de amor habla de una integración feliz, de la nueva Francia mestiza y de una tragedia íntima, quizá emblemática para comprender otras históricas tragedias. Quizá esa trama de relaciones íntimas y colectivas sea el origen último del dibujo profético que precedió a la tragedia: Matanza en Charlie Hebdo: el dibujo profético.

“Murió de pie. Como un hombre”.
“Siempre pensé que moriría como Théo Van Gogh”.
“Se sabía amenazado”.
“No quiso tener hijos porque sabía que iba a morir”.

“Il est mort debout. Il a été exécuté [ .. ] On ne peut être que très fier de lui, il mérite le panthéon. Il mérite une cérémonie comme celle de Malraux pour Jean Moulin” [ .. ] “J’ai toujours cru qu’il allait mourir comme Théo Van Gogh” [ .. ] “Il le savait, évidemment, qu’il était visé [ .. ] “S’il n’avait jamais eu d’enfant, quelque part c’est parce qu’il savait qu’il allait mourir” [ .. ] “En septembre 2012, comme une prémonition, Charb déclarait; “Je n’ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. C’est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire, mais je préfère mourir debout que vivre à genoux”. Il n’avait pas de femme, mais il laisse une compagne désespérée. “J’ai perdu mon amour, j’ai perdu une partie de moi”, a expliqué l’ancienne ministre en larmes… Charlie Hebdo : les larmes de Jeannette Bougrab, compagne de Charb.

Las negritas son mías.

Morir por las ideas: Sócrates, Jesús, Charlie Hebdo.
“Papá se ha ido. Wolinski queda”.
“Ben Laden no ha muerto”.
Matanza en Charlie Hebdo: el dibujo profético.