Boulevard des Italiens, 10 abril 2015. Foto JPQ.
Con I’m a fool to want you -en la versión última de Lady In Satin-, quizá sea el fragmento musical que más he escuchado en mi vida: April In Paris.
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Boulevard des Italiens, 10 abril 2015. Foto JPQ.
Recuerdo de April In Paris y el bebop, huyendo de la horda turística.
Les Grands Boulevards… Ahí vivió Goya.
Les Grands Boulevards… La geografía donde una furcia podía seducir a don Juan.
Entre el Brébant, Tortoni y la Maison dorée se encontraba el París nocturno donde una furcia como Odette de Crezy podía seducir a un don Juan snob y esteta como Swann: Proust y el amor… Don Juan, seducido por una furcia.
Les Grands Boulevards… Tras las huellas de Flaubert y los Goncourt.
Hitchcock, el arte, las mujeres y otros seres de encantamiento [ .. ] Recuerdo / Homenaje a Hitchcock inspirándose en Lee Miller para fotografiar Vértigo [ .. ] Lee Miller y otros seres de encantamiento [ .. ] Homenaje a Hitchcock y sus hadas / heroínas rubias.
El cine donde se estrenaron Los pájaros (1963): Le Grand Rex.
Les Grands Boulevards… El Grand Rex.
Les Grands Boulevards… Joven parisina castiza, 2.
Les Grands Boulevards… Joven parisina castiza.
Parisina, de generación en generación [ .. ] Parisino de pura cepa [ .. ] Pareja parisina de pura cepa [ .. ] Parisina de pura cepa [ .. ] Un francés en la frontera de Chinatown sur Seine.
Les Grands Boulevards… “Sus casetas de feria, sus loterías, sus vendedores ambulantes…”.
Les Grands Boulevards… El mestizaje, las gastronomías cosmopolitas, la crisis.
Les Grands Boulevards… Parisinas musulmanas / Musulmanas de París.
Les Grands Boulevards… Joven nigeriana moderna.
Les Grands Boulevards… una tarde de abril.
«Me agrada vagabundear por les Grands Boulevards». “Allí vibra el corazón de París”: Grands Boulevards (1951), música Norbert Glanzberg, letra de Jacques Plante, interpretada por Yves Montand.
Triunfo de los churros españoles entre las ruinas de un París mítico.
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Grands Boulevards (1951), música Norbert Glanzberg, letra de Jacques Plante, interpretada por Yves Montand.
J’aime flâner sur les grands boulevards
Y a tant de choses, tant de choses
Tant de choses à voir
On n’a qu’à choisir au hasard
On s’fait des ampoules
A zigzaguer parmi la foule
J’aime les baraques et les bazars
Les étalages, les loteries
Et les camelots bavards
Qui vous débitent leurs bobards
Ça fait passer l’temps
Et l’on oublie son cafard
Je ne suis pas riche à million
Je suis tourneur chez Citroën
J’peux pas me payer des distractions
Tous les jours de la semaine
Aussi moi, j’ai mes petites manies
Qui me font plaisir et ne coûtent rien
Ainsi, dès le travail fini
Je file entre la porte Saint-Denis
Et le boulevard des Italiens
J’aime flâner sur les grands boulevards
Y a tant de choses, tant de choses
Tant de choses à voir
On y voit des grands jours d’espoir
Des jours de colère
Qui font sortir le populaire
Là vibre le cœur de Paris
Toujours ardent, parfois frondeur
Avec ses chants, ses cris
Et de jolis moments d’histoire
Sont écrits partout le long
De nos grands boulevards
J’aime flâner sur les grands boulevards
Les soirs d’été quand tout le monde
Aime bien se coucher tard
On a des chances d’apercevoir
Deux yeux angéliques
Que l’ont suit jusqu’à République
Puis je retrouve mon petit hôtel
Ma chambre où la fenêtre donne
Sur un coin de ciel
D’où me parviennent comme un appel
Toutes les rumeurs, toutes les lueurs
Du monde enchanteur
Des grands boulevards
Grands Boulevards (1951), música Norbert Glanzberg, letra de Jacques Plante, interpretada por Yves Montand.
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