[ .. ]
Dicho de otro modo, el “corralito” es un atraco a mano armada del Estado / ejército contra los ciudadanos condenados al campo de concentración económico.
Atraco ¿temporal? ¿una semana, meses, años, como en el caso argentino?
Atraco precipitado, en Grecia, por una nebulosa de 19 partidos trostkistas, maoistas, stalinistas, feministas, ecologistas, incluso socialistas:
[ .. ]
Le Point, 29 junio 2015, Grèce : les meilleurs ennemis de Tsipras sont dans son gouvernement…
… Syriza, la formation qui a remporté les élections, est une sorte de nébuleuse de 19 partis de gauche et d’extrême gauche : trotskystes, maoïstes, staliniens, militants féministes, écologistes et même -mais oui- quelques socialistes. Tsipras lui-même est un ancien communiste en rupture avec son parti, qu’il trouvait trop dogmatique. Mais, dans le genre dogmatique, il a dû accepter dans sa coalition la “plateforme de gauche” de Panagiotis Lafazanis, 63 ans, dont il a fait le ministre de la Reconstruction, de l’Environnement et de l’Énergie. Ce mathématicien, dont la formation pèse 30 % du comité central de Syriza, appelle de ses vœux un retour de la Grèce à la drachme en faisant remarquer que la Grande-Bretagne a gardé sa livre sterling et ne s’en porte pas plus mal. «Comparaison n’est pas raison» ne doit pas être un proverbe traduisible en grec.
Mais Tsipras doit aussi compter avec Nikos Kotsias, 64 ans, professeur de sciences politiques et ministre des Affaires étrangères. Ce diplomate n’est pas vraiment un adepte de la diplomatie puisqu’il se dit favorable à la violence pour changer la société. Il pousse Tsipras à se rapprocher de Poutine et à oublier l’Europe. Autour de Tsipras, n’oublions pas le ministre de l’Intérieur, Nikos Voutsis, 64 ans. Cet ancien syndicaliste a poussé le Premier ministre à réintégrer à leur poste les milliers de fonctionnaires qui avaient été licenciés par le précédent gouvernement en application des mesures d’austérité demandées par Bruxelles. Inutile de dire que le nouveau plan proposé par les Européens ne lui convient pas du tout.
Enfin, Tsipras doit tenir compte de la radicalisation de certains de ses proches comme le sémillant ministre de l’Économie Yanis Varoufakis, dont ses partenaires à Bruxelles ont pu mesurer dès son entrée en fonction son peu d’empressement à composer. L’annonce du référendum l’a d’ailleurs comblé puisqu’il a déclaré dans la foulée à la télévision grecque : “La démocratie en Europe mérite un coup de fouet. Nous venons de le lui donner.”
Alexis Tsipras n’a pas encore clairement indiqué s’il conseillerait à ceux qui le soutiennent de voter oui ou non au référendum sur les propositions de réformes faites par l’Europe et les institutions monétaires. Mais, en dépit de la plongée dans l’inconnu que constitue pour la Grèce un vote négatif, il faut se souvenir que le Premier ministre grec, depuis qu’il a pris ses fonctions, a toujours sacrifié ses liens avec l’Europe pour maintenir l’unité fragile de sa coalition… Et même l’unité de son couple puisqu’il aurait dit à Hollande que sa femme l’avait menacé de le quitter s’il cédait aux Européens… Grèce : les meilleurs ennemis de Tsipras sont dans son gouvernement.
Las negritas son mías.
La crisis de Grecia llama a las puertas de España, sus ayuntamientos y comunidades autónomas.
La bancarrota griega costaría a los contribuyentes españoles 24.700 millones de euros.
“Angela Merkel convoca un referéndum para decidir el puesto de Grecia en Europa”.
Grecia, Alemania, Europa y la guerra del referéndum.
La bancarrota griega costaría a los contribuyentes españoles 24.700 millones de euros.
La crisis de Grecia llama a la puerta de España, sus ayuntamientos y comunidades autónomas.
El gobierno de Tsipras está amenazando a los griegos más necesitados.
Alexis Tsipras atiza un guerracivilismo europeo que puede costar muy caro a Grecia.
El juego de la ruleta griega.
Grecia se apoya en Washington y Moscú para “pesar” en Europa.
Financial Times desvela el plan griego para salir de la crisis de la deuda.
La crisis griega se ha transformado en un desafío de fondo para Europa y las relaciones trasatlánticas.
Alexis Tsipras, ¿aliado de Putin dentro de la UE?.
Cohn-Bendit: “Aliándose con un racista y evasor de impuestos, Syriza está jugando con fuego”.
Grecia / Europa: la tragedia, la crisis, las alternativas.
Los griegos de París.
La crisis Grecia / Europa vista por Kavafis.
Grecia: primeras lecciones para los difusores de basura ideológica.
La crisis Grecia / Europa vista por Kavafis.
Grecia / Europa, víctimas de las tormentas de basura ideológica.
Syriza, Grecia, Europa, España y… “ellos” y “nosotros”.
Draghi y el BCE votan Syriza.
El Economist no cree que el triunfo de Syriza sea un desastre para Grecia ni para Europa.
Syriza no es culpable del estado de bancarrota de Grecia que amenaza a toda Europa.
Las campanas de Syriza / Grecia redoblan en toda Europa, España incluida.
Financial Times: “Syriza y Podemos pueden salvar la zona euro”.
Deja una respuesta