Rue de Tourtille esquina Rue Ramponeau, 29 mayo 2018. Foto JPQ.
Prosper-Olivier Lissagaray, federal, libertario, el primer historiador de la Comuna de París (1871), sitúa en esa esquina la última barricada.
[ .. ]
Albert Robida, ilustrador, caricaturista, periodista, novelista, vivía en Belleville, durante la Comuna, y llegó a ejercer de algo así como “corresponsal de guerra”. Dejó este dibujo legendario de la última barricada, esquina Ramponeau / Tourtille:
Lissagaray escribe:
“La dernière barricade des journées de Mai est rue Ramponneau. Pendant un quart d’heure, un seul fédéré la défend. Trois fois il casse la hampe du drapeau versaillais arboré sur la barricade de la rue de Parsi. Pour prix de son courage, le dernier soldat de la Commune réussit à s’échapper…” Prosper-Olivier Lissagaray, Histoire de la Commune de 1871 (1876).
Siendo capital, el recuerdo / testimonio de Lissagaray no coincide exactamente con los recuerdos de una mujer legendaria, la heroína mítica de la Comuna, Louise Michel, que escribió, años más tarde:
“La barricade de la rue Saint-Maur vient de mourir, celle de la rue Fontaine-au-Roi s’entête, crachant la mitraille à la face sanglante de Versailles. On sent la bande furieuse des loups qui s’approchent, il n’y a plus à la Commune qu’une parcelle de Paris, de la rue du Faubourg-du-Temple au boulevard de Belleville. Rue Ramponeau, un seul combattant à une barricade arrêta un instant Versailles. Les seuls encore debout, en ce moment où se tait le canon du Père-Lachaise, sont ceux de la rue Fontaine-au-Roi. Ils n’ont plus pour longtemps de mitraille, celle de Versailles tonne sur eux…” Louise Michel, La Commune, 1898.
“No queremos mayo 68” “Queremos 1871”.
“Decíamos ayer…” Amor y anarquía en París, la primavera de 2016.
Amor y guerra social en los muros de París, work in progress.
Deja una respuesta