Les pays se délitent. Il n’existe pas d’unité. Quelle union entre un Breton et un Corse, un Picard et un Gascon? La langue? Oui, autrefois. Si l’on considère nos contrées comme des conféderátions, cela a un sens, mais vouloir fédérer, rassembler, unifier, c’est réunir un troupeau qui n’a pas la même foi dans la direction où il veut aller. S’imagine-t-on que la loi suffise? Il en est de même pour l’Europe.
Del diario póstumo de Julien Green, el 27 de mayo de 1997. Si no me falla la memoria, por esas fechas estaba yo terminando mi De la inexistencia de España.
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