Ida y vuelta a Montecarlo, 2
Hacia el siglo III de nuestra era, ciertas elites romanas se hacían enterrar, en una tierra que todavía no era Montecarlo, en sarcófagos esculpidos en mármol, no lejos de donde hoy se lanzan torres de apartamentos de lujo, frente al mar.
El sarcófago y la torre, bulevar princesa Grace. Foto JPQ
Me sorprende el paralelismo funcional del sarcófago y la torre, que ha perdido la decoración esculpida y la estela funeraria.
Wikipedia. L’influence des conditions sociales et matérielles sur la sculpture funéraire paléochrétienne:
La production des sarcophages romains à décor sculpté se répand largement dès le début du IIe siècle, à la suite de l’abandon progressif de l’incinération en faveur de l’inhumation (qui dans le courant du IIIe siècle s’impose dans tout l’Empire), tout en restant un moyen de l’ensevelissement réservé aux familles fortunées à cause de son coût. Dans le contexte de la grande crise économique, politique, sociale et religieuse du IIIe siècle, « la petite paix de l’Église » (introduite par l’édit de tolérance sous Gallien en 260 et qui assure au christianisme la tranquillité jusqu’au tournant du siècle) permet au christianisme de gagner les classes supérieures de la société (restées l’un des derniers bastions du paganisme). Les chrétiens fortunés, souvent présents dans l’armée, dans la haute administration et jusque dans l’entourage de l’empereur, sont les commanditaires des sarcophages qui apparaissent dans la deuxième moitié du IIIe siècle et dont le traitement plastique suit les tendances contemporaines du décor sculpté.
PS. Me hubiese gustado fotografiar el sarcófago y la torre hacia el alba, cuando el ocaso ya próximo no cubriese con su sombra el recuerdo de los muertos; víctima mi tosca imagen de las circunstancias, la hora, el taxi que me esperaba, y mi falta de pericia para encontrar otro ángulo de tiro. Nobody’s perfect.
Luis Rivera says
Te sigo en tu viaje… desde el bosque.
JP Quiñonero says
Luis,
Bosque encantado, en tu caso,
Q.-