Jean Cocteau, Pablo Picasso, Luis Miguel Dominguín en la plaza de Arles, 1959. Foto Lucien. Clergue. Ministère de la Culture.
Goya y Picasso ilustran el puesto de la tauromaquia en la historia de las culturas de España.
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En Francia, Vanessa Fauchier, la estudiado el puesto de la tauromaquia en la cultura francesa, a través de la obra de dos grandes maestros: «Les mutations sociales du XIXe siècle entraînent chez les philosophes et les poètes un intérêt nouveau pour l’homme, son imaginaire, ses mythes. Ce mouvement s’amplifie au début du XXe siècle avec l’émergence d’une rébellion intellectuelle (Dada, les surréalistes…). La quête de l’essence humaine amène certains intellectuels à se tourner vers la tauromachie. M. Leiris, véritable aficionado utilise le drame tauromachique comme tremplin à sa propre introspection. G. Bataille renvoie la violence de la corrida, le jeu avec la mort, à la recherche de la transcendance. L’un et l’autre sont en quête d’un dépassement de la condition humaine, d’un moyen de s’ouvrir au sacré. La corrida apparaît comme un renouvellement des rites dionysiaques mêlant jouissance et horreur, vie et mort, humain et divin..». VF, La tauromachie comme expérience dionysiaque. Chez Georges Bataille et Michel Leiris.
ABC, La tauromaquia gana la primera batalla en Francia, pero la guerra sigue.
Viejas historias …
El Constitucional francés avala la legalidad de las corridas de toros.
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