Rue Mabillon esquina Rue Lobineau, 11 noviembre 2024. Foto JPQ.
… cosmopolita y más turística, quizá.
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Alternar hasta las tantas quizá no siempre es compatible con el madrugar forzoso del curro.
El vagabundeo sin rumbo, diurno o nocturno, tampoco está siempre al alcance del parisino (a) condenado al curro de no sé cuantas horas, mientras turistas y vagabundos perdemos el tiempo en baretos a la altura de nuestros presupuestos y circunstancias.
Turistas o parisinos (as) de nuevo cuño, acomodados (as) pueden pagarse el lujo de merodear, vagabundear, por lugares donde esperan encontrar y quizá encuentran algo o alguien acorde con su sensibilidad, no siempre espiritual.
Casi fue ayer… F., I., MA., C., D… me basta con cerrar los ojos y escucho vuestras risas inmortales en la bóveda celeste de la memoria.
Il est 5 heures, Paris s’éveille
Je suis le dauphin de la place Dauphine
Et la Place Blanche a mauvaise mine
Les camions sont pleins de lait, les balayeurs sont plein d’balais
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Les travestis vont se raser
Les streap-teaseuses sont rhabillées
Les traversins sont écrasés, les amoureux sont fatigués
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Le café est dans les tasses, les cafés nettoient leurs glaces
Et sur le boulevard Montparnasse
La gare n’est plus qu’une carcasse
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Les banlieusards sont dans les gares
A la villette on tranche le lard
Paris by Night regagne les cars
Les boulangers font des batards
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
La Tour-Eiffel a froid aux pieds
L’Arc-de-Triomphe est ranimé
Et l’Obélisque est bien dressé
Entre la nuit et la journée
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Les journaux sont imprimés
Les ouvriers sont déprimés
Les gens se lèvent ils sont brimés
C’est l’heure ou je vais me coucher
Il est cinq heures, Paris s’éveille
Il est cinq heures, Je n’ai pas sommeil
Je suis le dauphin de la place Dauphine
Et la Place Blanche a mauvaise mine
Les camions sont pleins de lait, les balayeurs sont plein d’balais
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Les travestis vont se raser
Les streap-teaseuses sont rhabillées
Les traversins sont écrasés, les amoureux sont fatigués
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Le café est dans les tasses, les cafés nettoient leurs glaces
Et sur le boulevard Montparnasse
La gare n’est plus qu’une carcasse
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Les banlieusards sont dans les gares
A la villette on tranche le lard
Paris by Night regagne les cars
Les boulangers font des batards
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
La Tour-Eiffel a froid aux pieds
L’Arc-de-Triomphe est ranimé
Et l’Obélisque est bien dressé
Entre la nuit et la journée
Il est cinq heures, Paris s’éveille, Paris s’éveille
Les journaux sont imprimés
Les ouvriers sont déprimés
Les gens se lèvent ils sont brimés
C’est l’heure ou je vais me coucher
Il est cinq heures, Paris s’éveille
Il est cinq heures, Je n’ai pas sommeil
Fina says
Vaya, vaya, Quiño…!!!
Pero qué haces a estas horas vagabundeando por París…😀!!!
Debe ser emocionante vivir la noche parisina hasta el amanecer… Hay que ser valiente y animoso para ello!!!
Palante !!!!!!!!!!!!! y a revivir «los momentos favorables…
Como decía Goethe en su poema:
La propiedad
Sé que nada me pertenece sino el pensamiento que sin grilletes fluye de mi alma, y todo momento favorable que el destino clemente me permite gozar profundamente.
JP Quiñonero says
Fina,
Que poema tan bello…
Graciassssssss
–
En este caso… por mi parte, la cosa es muy sencilla… cuando tengo cena fuera de casa… el regreso lo hago a pie… hacia las 12 o poco más… y los barrios por donde yo me muevo, Saint-Montparnasse, Les Halles… dan una idea muy gráfica de la nueva realidad nocturna… que me recuerda, si, otras noches nocturnas, en otra época…
Q.-