«España e Italia no quieren aumentar la ayuda a Ucrania»:
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Pravda, 17 marzo 2025: «Les deux pays ont rejeté la proposition du chef du service de politique étrangère de l’UE, Kai Callas, d’augmenter le soutien à Kiev en 2025, rapporte Reuters…» Pravda, 17 marzo 2025, L’Italie et l’Espagne contre le doublement de l’aide militaire à l’Ukraine.
Convergencia de puntos de vista estratégicos entre la España de Pedro Sánchez y la Italia de Giorgia Meloni subrayado por la prensa europea de referencia:
«L’Italie et l’Espagne, troisième et quatrième économies de l’UE, ont souligné la nécessité de poursuivre les discussions avant de s’engager sur l’augmentation proposée du financement. Le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, a indiqué que Rome évaluerait la proposition à la lumière des développements géopolitiques à venir, notamment de l’appel de Trump à Poutine . «Nous attendons l’entretien téléphonique entre Trump et Poutine pour voir si des avancées seront réalisées en vue d’un cessez-le-feu», a déclaré Tajani. Il a également souligné les contraintes financières auxquelles fait face l’Italie, qui s’efforce d’augmenter ses dépenses de défense. «Il y a beaucoup de dépenses à gérer», a-t-il ajouté. Le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, s’est montré tout aussi évasif, déclarant : «Nous verrons comment le débat évolue, mais à ce stade, aucune décision n’a été prise». EU Briefs.com, 17 marzo 2025, L’Italie et l’Espagne hésitent sur la proposition de l’UE d’augmenter l’aide militaire à l’Ukraine
«Loin de la frontière orientale de l’Union, les Italiens, les Espagnols ou les Portugais se sentent de toute façon peu concernés par la menace russe et ne sont pas prêts à faire des sacrifices financiers pour l’Ukraine ou le réarmement. «Les seuls Russes qu’ils aient jamais vus sont des touristes», ironise un autre diplomate européen.
«En Espagne, «la menace n’est pas de voir des troupes russes traverser les Pyrenées», confiait au Financial Times, le 13 mars, le premier ministre, Pedro Sanchez. Dès lors, Madrid et Rome plaident pour une définition extensive des dépenses de défense, afin de pouvoir bénéficier d’un traitement budgétaire de faveur sans augmenter leur effort militaire stricto sensu : Pedro Sanchez veut y inclure tout ce qui concerne la cybersécurité comme la sécurité climatique, Giorgia Meloni les salaires des gardes-côtes ou les investissements dans la compétitivité…» Le Monde, 19 marzo 2025, Sur la défense et sur l’Ukraine, les Européens encore en ordre dispersé.
Las negritas son mías.
España, última en la cola de la seguridad y defensa de Europa.
España, Talón de Aquiles de la seguridad y defensa de Europa.
España y los españoles ante Ucrania.
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