“¿Está la zona euro fragilizada por algunas ovejas negras?” [ .. ] “Algunos países de la zona euro están caídos en un agujero negro de endeudamiento, de donde les será difícil salir” [ .. ] «Colapso del milagro español» [ .. ]
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[ .. ] “Es el caso de España, Irlanda, Portugal y Grecia, que fundaron su crecimiento en el endeudamiento y el sector inmobiliario” [ .. ]
Ces pays qui fragilisent la monnaie européenne [ .. ] L’Espagne, la Grèce, l’Irlande, le Portugal pâtissent plus durement de la récession [ .. ]
La zone euro risque-t-elle d’être affaiblie par quelques moutons noirs ? La question est posée au lendemain de la décision de la Banque centrale européenne (BCE), jeudi 15 janvier, de baisser à nouveau son principal taux directeur.
Elle est posée alors que la plupart des vingt-sept membres de l’Union européenne (UE), notamment les seize pays de la zone euro, accordent la priorité à la lutte contre la récession qui s’annonce. Ceux-ci le font au détriment des règles de discipline budgétaire – les fameux critères de Maastricht – qui assurent la solidité de la monnaie unique européenne. Mais tous les pays membres ne sont pas logés à la même enseigne. Si nombre d’Etats paraissent en mesure, dès le retour de la croissance, de rééquilibrer leurs comptes, ce n’est pas le cas pour quelques autres. Certains des seize pays de la zone euro se retrouvent dans un trou noir d’endettement d’où il ne sera pas facile de sortir.C’est le cas de l’Espagne, de l’Irlande, du Portugal ou de la Grèce – à des degrés divers. Ce sont des pays qui ont, très largement, fondé leur croissance sur l’endettement et l’immobilier.
Sous le double choc de l’éclatement de la bulle immobilière et de la récession, ils font face à d’énormes problèmes de financement de leur dette. La tension sur les taux des emprunts obligataires les pénalise, de même que les appréciations que les grandes agences de notation portent sur eux.
Dans des pays comme l’Espagne et l’Irlande, » il aurait fallu casser la bulle immobilière en limitant l’accès au crédit «, explique au Monde l’économiste Jean Pisani-Ferry, qui dirige le centre européen de recherches et d’études Bruegel. Mais, en Europe, poursuit-il, » la pression des pairs n’a pas joué, ou pas suffisamment «. Le cas de la Grèce n’est pas moins préoccupant : » Sa dette publique est élevée, les investisseurs se montrent réticents à prêter à l’Etat grec, observe M. Pisani-Ferry. Il y a un risque d’aggravation pour le pays, et au-delà pour l’ensemble de la zone euro, dont l’arsenal ne comporte pas d’instrument pour gérer des crises de ce type en son sein. »
Pour l’heure, attachée à endiguer la vague récessionniste et libérée de ses craintes en matière d’inflation, la BCE a poursuivi sa politique d’assouplissement monétaire : elle a réduit son taux directeur de 50 points de base, le ramenant à 2 %. Elle envisage de donner un nouveau coup de pouce au crédit en mars, tout en se méfiant d’une crise de surplus de liquidités. Ira-t-elle jusqu’à un taux zéro, comme aux Etats-Unis ? » Je vous réponds non, nous n’irons pas «, a déclaré, vendredi, son président, Jean-Claude Trichet, à la télévision japonaise NHK. [Le Monde, 17 enero 2009, Ces pays qui fragilisent la monnaie européenne].
Las negritas son mías.
«Colapso del milagro español» [ .. ] «Ruinas de la burbuja inmobiliaria» [ .. ] Building boom reduced to ruins by collapse of Spain’s economic miracle, Guardian, 19 enero 2009.
maty says
e-faro.info La percepción de la crisis de los políticos [viñeta]
PD Escaño351 -> LA RAZÓN Los eurodiputados españoles se subirán el sueldo 4.000 euros al mes desde julio
Armando says
Después de lo que ha dicho Maty sobran las palabras…y urge pasar a la acción. Que rueden cabezas! Siquiera sea literalmente…
Si a la nula capacidad para entender (y solucionar) la crisis económica añadimos la nula capacidad (o infinita hipocresía) a la hora degestionar la crisis energética o de presentar un proyecto alternativo a la mera ampliación de mercados.
Sólo queda pasar a la acción. Que rueden cabezas! Siquiera sea literalmente…
JP Quiñonero says
Maty, Armando,
… Maty,
Bueno…
… Armando,
Hombre, caer caer cabezas… tampoco es eso.
Q.-