Boulevard Saint-Germain, 13 junio 2021. Foto JPQ.
“J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. Tout menace de ruine un jeune homme : l’amour, les idées, la perte de sa famille, l’entrée parmi les grandes personnes. Il est dur à apprendre sa partie dans le monde…”. Paul Nizan, Aden Arabie, 1931.
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En esas estamos:
Le Figaro, “Génération sacrifiée”, la grande déprime des étudiants.
Le Monde, Les 18-25 ans, une génération abîmée par la pandémie.
Generación covid, generación sacrificada … los jóvenes españoles, los más pobres y angustiados.
Generación covid, generación sacrificada.
La Unesco anuncia una catástrofe generacional para niños y jóvenes en tiempos del coronavirus.
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