Crisis de un (os) Estado (s) caídos de hinojos ante la montaña de sus deudas.
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Dudas muy profundas sobre la eficacia del Estado. “¿Deben las empresas privadas hacerse cargo de los servicios públicos?”. Así responden los europeos:
Le Monde, 6 / 7 abril 2012.
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Il s’agit peut-être de la deuxième faillite des Etats. Dans les pays d’Europe du Sud comme en France, les élites politiques sont discréditées, jugées incapables de sortir les pays du marasme, ou même de redresser, à terme, leurs économies. Pire, les populations semblent prêtes, faute de mieux, à substituer aux services publics, auxquels elles restent pourtant attachées, des prestations privées.
L’enquête Ipsos réalisée pour Publicis auprès d’un échantillon représentatif de 6 198 Européens (France, Allemands, Espagne, Royaume-Uni, Italie et Pologne), du 14 mars au 7 avril, donne ainsi le sentiment d’une fin annoncée de l’Etat-providence : 71 % des personnes interrogées estiment que le gouvernement ne propose pas de solutions constructives pour affronter la crise. Les institutions européennes (70 % ont un avis négatif) sont rangées dans le même lot.
Une fois encore, l’écart se creuse entre l’Europe du Nord et le Sud. Quand les Allemands, épargnés par la crise, fiers de leur réussite et satisfaits des réformes accomplies par le passé, jugent encore leur gouvernement avec bienveillance (45 % estiment que l’Etat propose des solutions constructives), les Espagnols (19 %) ou les Italiens (15 %) n’en attendent rien, ou si peu…. Dans le Sud de l’Europe, la crise fragilise encore plus la confiance en l’Etat.
A título personal, leo el mismo sondeo de manera mucho menos optimista y parcial.
A mi modo de ver, se trata de una desconfianza generalizada de la eficacia del Estado providencia, víctima de un endeudamiento que impide crear riqueza a distribuir de manera más justa.
El caso español me parece un caso canónico de ineficacia injusta:
- España, un Estado insostenible.
- España, en estado de bancarrota.
- España, el Estado y sus bancos: deudas asfixiantes.
- La gangrena del Estado, las comunidades autónomas y los municipios.
- Estado y gobierno(s) nos hacen más pobres y menos libres, 2.
- Estado y gobierno nos hacen más pobres y menos libres.
- España: más funcionarios para administrar la pobreza creciente.
- Implosión del Estado financiero reformado por ZP, Rubalcaba, Solbes, Salgado y Mafo.
- Espiral del empobrecimiento de España y los españoles.
- Zapatero destruye los fundamentos del Estado providencia y los modelos socialdemócratas.
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