Las elites francesas y la gran prensa internacional no se interesan por la tierra baldía donde quienes ayer decían “ni escuelas, ni iglesias, prostíbulos”, ahora dicen “fóllate a un poli”. Un texto muy bello y trágico de L.F. Céline, recién reeditado (y sobre el que volveré más tarde), ya hacía en 1944 una disección del problema que algo tiene de profecía bíblica.
Céline, en su prólogo a Bezons a travers les ages, de Albert Serouille:
Pauvre banlieue parisienne, paillasson devant la ville où chacun s’essuie les pieds, crache un bon coup, passe, qui songe à elle? Personne. Abrutie d’usines, gavée d’épandages, dépecée, en loques, ce n’est plus qu’une terre sans âme, un camp de travail maudit, où le sourire est inutile, la peine perdue, terne la souffrance, Paris “le coeur de la France”, quelle-chanson! quelle publicité! La banlieu tout autour qui crève! Calvaire à plat permanent, de faim, de travail, et sous bombes, qui s’en soucie? Personne, bien sûr. Elle est vilaine et voilà tout. Les dernières annés n’ont pas arrange les choses. On s’en doute. Banlieu de hargne, toujours vaguement mijotante d’une espèce de revolution que personne ne pousse ni n’achève, malade à mourir toujours et ne mourant pas.
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Entrevista con Nicolas Baverez, sobre la crisis de Francia y los riesgos de “guerra civil” étnica.
maty says
Quiño, no estaría de más, cuando el texto es corto, que lo tradujeses.
JP Quiñonero says
Maty,
Te comprendo perfectamente. En este y otros casos, la traducción de un texto tan corto ni es fácil ni se hace en un plis/plas: lleva tiempo, que helás, no tengo. Nobody’s perfect,
Q.-